Découverte troublante : mort mystérieuse et mutilations d’animaux dans deux communes des Deux-Sèvres, que se trame-t-il vraiment ?

Imaginez-vous dans une petite commune des Deux-Sèvres, Mazières-en-Gâtine ou Verruyes, où une série d'incidents troublants perturbent la tranquillité des habitants.

Les mystères de Mazières-en-Gâtine et Verruyes #

La vie paisible de ces communes rurales a été bouleversée par la mort mystérieuse et les mutilations d’animaux qui ont eu lieu ces dernières semaines.

En effet, plus de 70 moutons ont été retrouvés morts depuis le début de l’année. Les habitants, déconcertés, cherchent à comprendre qui ou quoi est à l’origine de ces actes effrayants.

Des récits qui font froid dans le dos #

Christophe Meinard, un agriculteur de Mazières-en-Gâtine, témoigne d’une perte de 18 moutons depuis le début de l’année. Avec ses collègues, il a dénombré plus d’une soixantaine d’ovins retrouvés sans vie. D’autres habitants racontent des histoires similaires, évoquant des animaux retrouvés « en petits morceaux »

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Le 25 mars dernier, Anne-Céline Winston de Verruyes a découvert plusieurs de ses animaux de compagnie morts dans son jardin : une oie, deux cannes et un cochon d’inde. Deux de ses poules ont également été sévèrement mutilées, obligeant cette professeure de 52 ans à mettre fin à leurs souffrances.

Des hypothèses et des suspects #

Les habitants des deux communes ont d’abord pensé à des attaques de loup, une hypothèse rapidement écartée faute de preuves. La piste d’un renard a aussi été éliminée, les blessures infligées aux animaux étant trop importantes. Alors, qui sont les coupables ?

Les suspects désignés par les victimes sont les chiens-loups de deux voyageurs récemment installés à Verruyes. Claire Ledoux, une habitante, affirme avoir vu l’un de ces chiens-loups tourner autour de son abri pendant qu’elle nourrissait ses moutons.

Des mesures prises, mais toujours pas de coupable #

Devant cette situation inquiétante, le maire de Verruyes, Patrick Caillet, a pris deux arrêtés municipaux. Les propriétaires des chiens-loups sont ainsi obligés d’effectuer une évaluation comportementale de leurs animaux et de les placer dans un lieu de dépôt pour chiens dangereux.

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Cependant, ces obligations n’ont pas été respectées, laissant les habitants dans l’incertitude et la peur. Malgré ces mesures, aucune preuve ne permet pour le moment d’accuser ces propriétaires et leurs animaux.

Ainsi, les habitants de Mazières-en-Gâtine et Verruyes vivent dans l’attente et l’appréhension, espérant que ce mystère sera résolu au plus vite.

  • Plus de 70 moutons retrouvés morts depuis le début de l’année
  • Des animaux de compagnie découverts mutilés dans leurs jardins
  • Des chiens-loups pointés du doigt, mais aucune preuve formelle pour l’instant
  • Des mesures prises par le maire, mais toujours pas de coupable

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