Une adolescente à Montpellier sort de l’hôpital après une agression violente : la lutte pour surmonter le traumatisme et les crises d’épilepsie commence

Le lundi 8 avril, Samara, une collégienne de 13 ans de Montpellier, est rentrée chez elle après une hospitalisation due à une agression violente.

Samara, une collégienne de 13 ans, se remet d’une agression brutale #

Sa mère, Hassiba, a confirmé qu’elle avait quitté l’hôpital après s’être réveillée d’un coma.

Samara a été attaquée brutalement à la sortie de son collège, Arthur Rimbaud, situé dans le quartier de La Mosson – La Paillade, le mardi 2 avril. Elle a été rouée de coups, ce qui l’a plongée dans le coma.

Les défis de la récupération #

Samara est en bonne santé physique depuis qu’elle a quitté l’hôpital. Cependant, elle lutte contre les effets psychologiques de l’agression. Elle a peur de sortir de l’hôpital et d’être seule, et elle a du mal à dormir.

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De plus, elle est obligée de prendre un traitement pour gérer les crises d’épilepsie qu’elle a commencées à subir après l’agression. Sa mère espère qu’avec le temps, elle retrouvera ses repères.

Enquête sur l’agression #

Après l’agression, trois adolescents de 14 et 15 ans ont été mis en examen pour « tentative d’homicide volontaire ». Ils ont reconnu avoir frappé Samara et ont été placés sous contrôle judiciaire.

Cette agression brutale a choqué la communauté de Montpellier et a mis en lumière la question de la sécurité des enfants à la sortie de l’école.

L’appel à la solidarité et au soutien #

La communauté de Montpellier est encouragée à soutenir Samara et sa famille pendant cette période difficile. Le soutien psychologique est aussi vital que le soutien physique dans ces moments.

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Il est important de rappeler que personne ne devrait avoir à subir une violence physique ou émotionnelle, en particulier les enfants et les adolescents. Chacun peut jouer un rôle pour s’assurer que cela ne se reproduise pas.

  • Sensibiliser à l’importance du respect et de la non-violence,
  • Soutenir les victimes d’agression et leurs familles,
  • Encourager une communication ouverte sur les incidents violents,
  • Exiger des actions de la part des écoles et des autorités pour garantir la sécurité des élèves.

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