Les implications majeures des assemblées générales de 2024 : une perspective novatrice sur la gouvernance d’entreprise

La saison des assemblées générales des grands groupes cotés se profile à l'horizon, commençant par Vinci, et suivie de près par Airbus.

Les assemblées générales de 2024 : l’évolution nécessaire #

On s’attend à ce que les questions de la rémunération des dirigeants, de la composition des conseils d’administration et des préoccupations environnementales soient au cœur des débats.

Comme chaque année, ces sujets reviennent, mais avec une nuance croissante. Les investisseurs deviennent de plus en plus exigeants au fil du temps, et les entreprises doivent s’adapter.

La rémunération des dirigeants : un point de controverse #

Un point d’attention qui revient régulièrement est la rémunération des dirigeants. Les investisseurs sont de plus en plus réticents à soutenir un plan de rémunération pour un dirigeant si celui-ci ne contient pas un objectif quantifiable lié au climat.

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De nos jours, ce critère est appliqué dans certains secteurs tels que les services aux collectivités ou l’énergie. Cependant, il y a des plans pour étendre cette exigence à tous les secteurs cotés.

La composition des conseils d’administration : un enjeu de diversité #

La composition des conseils d’administration est un autre sujet crucial. Les investisseurs sont de plus en plus préoccupés par la diversité au sein des conseils, qu’il s’agisse de genre, d’ethnie ou d’expérience sectorielle.

Il est de plus en plus admis que des conseils d’administration diversifiés apportent une meilleure perspective et sont plus à même d’aborder les défis de l’entreprise.

Le climat : un enjeu majeur pour l’avenir #

Enfin, le climat est un enjeu essentiel qui est de plus en plus scruté lors des assemblées générales. Les investisseurs veulent voir des actions concrètes et quantifiables pour atténuer les effets du changement climatique.

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De plus en plus, les entreprises sont tenues de rendre compte de leurs efforts pour réduire leur empreinte carbone et pour mettre en place des stratégies durables.

À considérer :

  • La rémunération des dirigeants doit être liée à des objectifs climatiques quantifiables.
  • La diversité au sein des conseils d’administration est nécessaire pour une perspective plus large.
  • Les entreprises doivent rendre compte de leurs efforts pour atténuer le changement climatique.

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