Une découverte macabre lors d’une sortie en pleine nature #
Cette trouvaille, loin d’apporter des réponses, a plutôt soulevé de nouvelles questions surprenantes.
L’enfant de deux ans et demi avait disparu le 8 juillet dernier alors qu’il était sous la surveillance de ses grands-parents. Ce n’est que le dimanche 31 mars que l’enquête a pris un virage inattendu.
Détails troublants sur la manière dont les ossements ont été trouvés #
Les ossements de l’enfant ont été découverts près d’un sentier de randonnée par une femme dont l’identité reste secrète. Ce qui a intrigué les enquêteurs, c’est la manière avec laquelle elle a géré sa découverte.
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En effet, au lieu d’alerter immédiatement les autorités, la randonneuse a déplacé le crâne trouvé et l’a mis dans un sac en plastique qu’elle a emporté chez elle avant de contacter la gendarmerie.
La décision de la randonneuse met en péril l’enquête #
En déplaçant les ossements, la randonneuse a compromis l’intégrité de la scène de découverte. Cela risque de complexifier le travail des enquêteurs, car ils perdent ainsi le contrôle total des éléments présents sur place au moment de la découverte.
La randonneuse, ayant manqué de réseau sur le lieu de la découverte, avait peut-être peur que les ossements soient déplacés et deviennent introuvables si elle les laissait sur place.
Qu’encourt la randonneuse pour son geste ? #
En dépit de son geste qui a modifié la scène, la randonneuse ne devrait pas être poursuivie si elle peut prouver qu’elle a agi de bonne foi. Le procureur a indiqué que la randonneuse était « perturbée par sa découverte », ce qui est compréhensible.
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Une source proche de l’enquête a révélé que la randonneuse n’était pas du village, ce qui a été confirmé par le maire du Vernet. Elle n’aurait donc pas pris le sentier de randonnée dans le sens habituellement connu par les habitants.
Voici un bref résumé des événements :
- Émile, un petit garçon de 2 ans et demi, disparaît le 8 juillet.
- Les ossements de l’enfant sont retrouvés près d’un sentier de randonnée le dimanche 31 mars.
- La randonneuse qui a fait la découverte déplace les ossements et les ramène chez elle avant de contacter la gendarmerie.
- Le déplacement des ossements pourrait compliquer l’enquête.
- La randonneuse ne devrait pas être poursuivie si elle peut prouver qu’elle a agi de bonne foi.
