Une nouvelle ère pour les assemblées générales en 2024 #
La première d’entre elles, celle de Vinci, suivie de près par celle d’Airbus, marque le début d’un tournant crucial.
Les enjeux ont évolué et s’articuleront cette année autour de trois points cruciaux : les rémunérations des dirigeants, la composition des conseils d’administration et, plus que jamais, le climat.
Des attentes toujours plus élevées #
Les investisseurs, quant à eux, sont de plus en plus exigeants. Ce n’est plus une surprise, chaque année, leurs attentes augmentent.
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Il est désormais impensable pour eux de soutenir un plan de rémunération pour un dirigeant qui ne contient pas un objectif quantifiable lié au climat.
Une prise de conscience environnementale #
Cette exigence environnementale n’est pas seulement une mode, c’est une nécessité. Appliquée à des secteurs comme les services aux collectivités ou l’énergie, cette condition est en passe de s’étendre à tous les secteurs cotés.
Il est désormais vital que chaque entreprise prenne sa part dans la lutte contre le changement climatique.
Un pas vers l’avenir #
Les assemblées générales de 2024 sont donc l’occasion pour les entreprises de montrer qu’elles ont compris l’enjeu et qu’elles sont prêtes à faire leur part.
Elles marquent aussi le début d’une nouvelle ère, où les questions environnementales ne peuvent plus être ignorées.
Voici quelques-unes des principales attentes pour ces assemblées générales de 2024 :
- Des objectifs climatiques clairs et quantifiables dans les plans de rémunération des dirigeants
- Une prise en compte plus importante des enjeux environnementaux dans les décisions stratégiques
- Une plus grande transparence sur la composition des conseils d’administration
