Des propos haineux lors du joyeux carnaval de Besançon #
Des messages de haine ont été affichés par certaines entités, faisant un lien inapproprié entre les migrants et les violeurs.
Le contraste était frappant : tandis que la majorité des participants dansaient et faisaient la fête, un groupe a choisi d’utiliser cet événement pour diffuser leur message anti-migrants.
Des messages haineux en plein carnaval #
Des membres d’un groupe identifié par nos confrères de Ouest-France comme « féministe entitaire » ont brandi des pancartes haineuses. Ces dernières ont été placées sur les façades du centre-ville de Besançon, et même au sein du défilé officiel du carnaval.
Les fanfares et les costumes colorés semblaient presque décalés face à ce spectacle de haine, une triste réalité qui a brisé l’atmosphère festive.
Action de la mairie face à ces dérives #
La maire écologiste de la ville, Anne Vignot, a qualifié ces actions de « provocations immondes ». Expressément, ces personnes ont profité de la grande affluence pour propager leur haine contre les migrants.
Anne Vignot a exprimé son indignation face à cette situation, déclarant qu’il était « scandaleux et incroyable de vivre cela en France ». Elle a également annoncé son intention de déposer plainte pour « appel à la haine ».
Le mouvement « Nemesis » sous les projecteurs #
Les deux femmes impliquées dans ces actes haineux seraient membres du mouvement « Nemesis », se décrivant comme féministe et entitaire. Leur slogan, « Violeurs étrangers, dehors », a suscité une vague d’indignation.
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La mairie de Besançon, sous le choc de ces événements, a pris des mesures pour assurer que de tels actes ne se reproduisent pas.
Les événements regrettables du carnaval de Besançon ont mis en lumière la nécessité de lutter contre les discours de haine et de préserver l’esprit de fête et de partage qui caractérise ces événements.
- Le carnaval de Besançon est un événement joyeux et coloré
- Des membres d’un groupe « féministe entitaire » ont brandi des pancartes haineuses
- La mairie de Besançon a déposé plainte pour « appel à la haine »
- Les deux femmes impliquées seraient membres du mouvement « Nemesis »
