Voici le récit d’une séparation tumultueuse à Nîmes : chantage à la sextape, usage de cocaïne et menaces, l’homme est condamné mais échappe à une peine pour appels malveillants

L'histoire commence dans un village de la Vaunage, où l'ex-compagnon d'une résidente a été convoqué devant le tribunal correctionnel de Nîmes le 12 avril dernier.

Un villageois de la Vaunage accusé d’appels malveillants et de menaces #

Les accusations portées contre lui comprennent des appels malveillants, des menaces et le refus de fournir le code de son téléphone portable.

La relation tumultueuse entre ces deux individus a culminé en une séparation houleuse qui a été marquée par des retrouvailles épisodiques avant une nouvelle rupture. Cette histoire pourrait sembler ordinaire, sauf que l’ex-compagnon a fait l’objet d’une plainte pour menace, appels et messages malveillants, ainsi que pour le refus de donner le code de son téléphone portable aux enquêteurs. Les faits reprochés se sont produits entre novembre 2023 et février 2024.

Menaces de diffusion d’une sextape et problèmes d’addiction #

Un élément grave a émergé au cours de l’enquête menée par les gendarmes : l’ex-compagnon aurait menacé de diffuser une sextape. Bien que la vidéo n’ait jamais été rendue publique, une image en aurait été extraite et placée dans la boîte aux lettres d’un proche.

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L’homme, dans la quarantaine, a été renvoyé devant un magistrat du parquet et placé sous contrôle judiciaire le 23 février 2024, avec interdiction d’entrer en contact avec son ex-partenaire. Il a également été sommé de suivre un traitement pour lutter contre ses addictions à l’alcool et à la drogue et d’être suivi par l’Association gardoise d’aide aux victimes d’infractions pénales.

📌 Point clé Récapitulatif
👥 Relation terminée La relation tumultueuse entre les deux Gardois a culminé en une séparation houleuse.
🚨 Accusations L’homme est accusé d’appels malveillants, de menaces et de refus de donner le code de son téléphone portable.
⚖️ Enquête Une enquête a révélé une menace de diffusion d’une sextape et des problèmes d’addiction chez l’accusé.

Un casier judiciaire chargé et des menaces portées contre la plaignante #

Le président du tribunal a découvert que l’accusé avait déjà 13 condamnations à son actif. L’avocate de la plaignante a révélé que sa cliente avait finalement décidé de porter plainte lorsque son ex-compagnon avait menacé de s’en prendre à son enfant.

La substitut du procureur a souligné que l’accusé avait facilité la tâche de la justice en reconnaissant tous les faits qui lui étaient reprochés. Elle a retenu deux infractions principales : les menaces et le refus de donner le code de déverrouillage de son téléphone.

Un verdict mixte pour l’accusé #

L’accusé n’a pas été condamné pour les appels malveillants, mais a été reconnu coupable des menaces et du refus de fournir le code de déverrouillage de son téléphone. Il a été condamné à huit mois de prison avec sursis, assortis d’une interdiction de posséder une arme et d’entrer en contact avec la victime.

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Enfin, l’accusé a été sommé de suivre des soins psychologiques, de trouver un emploi ou de suivre une formation. Son téléphone portable a également été confisqué par le tribunal.

  • L’homme est accusé d’appels malveillants, de menaces et de refus de donner le code de son téléphone portable.
  • Une enquête a révélé une menace de diffusion d’une sextape et des problèmes d’addiction chez l’accusé.
  • L’accusé a été reconnu coupable de menaces et de refus de fournir le code de déverrouillage de son téléphone.
  • Il a été condamné à huit mois de prison avec sursis, assortis d’une interdiction de posséder une arme et d’entrer en contact avec la victime.
  • Son téléphone portable a été confisqué par le tribunal.

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