Une nouvelle audience pour Jonathann Daval #
Il est jugé cette fois pour dénonciation calomnieuse au tribunal correctionnel de Besançon dans le Doubs.
Dans un revirement surprenant, le procureur a requis la relaxe de Daval, soulignant la complexité de cette affaire qui continue de défrayer la chronique.
La souffrance d’une famille mise à l’épreuve #
Le procureur de Besançon, Etienne Manteaux, a souligné la douleur de la famille d’Alexia, qui se sent bafouée par les actions de Daval. Il a noté que, bien que moralement difficile, la loi permet à un accusé de mentir.
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Daval a pris la parole lors de cette audience, émettant des excuses et promettant qu’on n’entendra plus parler de lui. Le jugement a été mis en délibéré jusqu’au 24 mai prochain.
Des accusations contre la belle-famille #
Daval est cité à comparaître par sa belle-famille pour dénonciations calomnieuses. Pendant six mois, il a accusé Grégory Gay, le mari de la sœur d’Alexia, d’avoir étranglé Alexia avec la complicité de sa famille.
Il avait par la suite rétracté ses accusations lors d’une confrontation émouvante avec ses accusateurs, reconnaissant avoir menti et avouant être l’auteur du meurtre de sa femme.
« Un pacte secret » #
Daval avait affirmé en juin 2018 que son beau-frère avait étranglé Alexia lors d’une crise d’hystérie chez les parents de celle-ci. Il avait prétendu que la famille avait conclu un « pacte secret » pour dissimuler ce qu’il avait présenté comme un accident.
C’est finalement en décembre 2018 qu’il avait reconnu avoir menti après une intervention déterminante de sa belle-mère, Isabelle Fouillot. Elle avait réussi à obtenir de nouveaux aveux de sa part en lui montrant une photo du chat du couple, Happy.
- Jonathann Daval est jugé pour dénonciation calomnieuse
- Le procureur a requis sa relaxe
- La famille d’Alexia continue de souffrir des retournements de situation
- Grégory Gay, accusé par Daval, cherche à laver son honneur
En dépit des nombreux rebondissements dans cette affaire, la volonté de justice reste inébranlable. Les soutiens de la famille d’Alexia demeurent solides, tandis que Grégory Gay, principal plaignant, reste déterminé à effacer les accusations mensongères portées contre lui. Il est clair que cette affaire a laissé des cicatrices profondes chez tous les individus impliqués. Alors que nous attendons le verdict du 24 mai, il est crucial de rappeler l’importance de la vérité et de la justice dans le processus de guérison.
