Découvrez une surprise politique en Corée du Sud: l’opposition se dirige vers une victoire majeure aux législatives

La Corée du Sud a vécu une surprise politique lors des récentes élections législatives.

Une tournure inattendue des événements #

Le parti d’opposition principal semble se diriger vers une victoire retentissante.

Cette victoire, si elle se confirme, pourrait bien mettre le président conservateur Yoon Suk Yeol dans une situation difficile pour le reste de son mandat.

Un coup dur pour le président #

Les sondages à la sortie des urnes ont indiqué une augmentation de la majorité du parti d’opposition. Cela représente un coup dur pour le président Yoon Suk Yeol.

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Si ces résultats sont confirmés, cela pourrait même ouvrir la voie à la destitution du président.

Un parti d’opposition en tête #

Le parti d’opposition principal est le Parti démocrate (centre gauche) de Lee Jae-myung. Les sondages indiquent qu’il pourrait obtenir jusqu’à 197 sièges sur 300.

Il a été victime d’une attaque au couteau il y a trois mois, mais cela ne semble pas avoir affecté sa popularité.

Le parti du président en difficulté #

Le Parti du pouvoir au peuple (PPP) du président Yoon Suk Yeol semble avoir du mal à maintenir sa position. Les sondages indiquent qu’il ne devrait obtenir qu’entre 85 et 99 sièges.

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Il avait 114 sièges lors de la dernière législature.

Il est intéressant de noter que tous les partis d’opposition réunis pourraient avoir obtenu une « super-majorité » de 200 sièges sur 300. C’est suffisant pour contrer le droit de veto du président Yoon, et même pour le destituer.

  • Le parti Reconstruire la Corée, fondé récemment par l’ancien ministre de la justice Cho Kuk, aurait obtenu entre 12 et 14 sièges.
  • Cho Kuk est visé par des accusations de corruption qu’il nie.

La défaite du président Yoon Suk Yeol pourrait être le reflet de sa politique de fermeté à l’égard de la Corée du Nord et de son renforcement de l’alliance avec les Etats-Unis. Sa popularité n’a jamais vraiment décollé, restant souvent autour de 30%.

Alors que la Corée du Sud se prépare à un changement politique majeur, Lee Jae-myung savoure sa revanche. Il a été englué dans une série d’enquêtes pour corruption, mais le verdict des urnes semble indiquer que le peuple est prêt à lui donner une seconde chance.

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Les prochains jours nous en diront plus sur le futur politique de la Corée du Sud. Une chose est sûre: les élections législatives de 2024 marquent une tournure politique majeure pour le pays.

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