Voici comment les ONG font pression sur les financiers de TotalEnergies pour un futur plus vert

La lutte pour le climat entraîne de nouveaux acteurs sur le terrain.

De nouveaux acteurs dans la lutte pour le climat #

Les banques et les investisseurs, qui organisent, structurent et placent les émissions obligataires sur le marché, sont désormais appelés à prendre position sur les questions climatiques.

Il ne s’agit plus uniquement des actionnaires des grandes entreprises pétrolières, mais de ceux qui achètent leurs titres de dette, et donc financent leurs activités.

La lettre ouverte qui fait bouger les lignes #

Soixante ONG internationales, dont Reclaim Finance et Les Amis de la Terre, ont envoyé une lettre ouverte à six grands investisseurs internationaux et vingt-quatre banques. Un appel à l’action qui ne laisse personne indifférent.

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Elles invitent les géants de la gestion d’actifs, tels que l’Américain BlackRock, le Français Amundi, ou encore l’Allemand Allianz GI, ainsi que le fonds souverain norvégien, à ne pas participer aux émissions d’obligations de TotalEnergies.

L’implication des banques d’investissement #

Les institutions bancaires interpellées ne sont pas des moindres. On retrouve parmi elles la plupart des banques d’investissement et de marché internationales.

Les françaises BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et Natixis (BPCE) figurent notamment sur la liste. Elles sont invitées à prendre position et à se montrer responsables.

La portée de cette interpellation #

Cette interpellation marque une étape importante dans la lutte pour le climat. Elle montre que toutes les entités impliquées dans le financement des activités pétrolières peuvent jouer un rôle pour un futur plus vert.

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Il s’agit d’un appel à la responsabilité et à l’action. Un appel pour un futur plus durable, pour une économie qui prend en compte l’environnement et le bien-être de tous.

  • Soixante ONG ont envoyé une lettre ouverte aux acteurs du marché financier.
  • Les géants de la gestion d’actifs sont appelés à ne pas participer aux émissions d’obligations de TotalEnergies.
  • Les banques d’investissement sont également interpellées et invitées à prendre position.

La lutte pour le climat prend une nouvelle tournure avec cette interpellation. Plus que jamais, il est nécessaire de s’interroger sur les implications de nos choix financiers et leur impact sur l’environnement. Les banques et les investisseurs ont un rôle clé à jouer pour un futur plus durable. Cette lettre ouverte est une invitation à repenser notre économie et à faire des choix financiers responsables. Elle souligne l’importance de la transparence et de la responsabilité dans le secteur financier. Il est temps de prendre des mesures pour un futur plus vert et plus responsable.

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